Bien investir dans l’immobilier patrimonial en 3 points

Bien investir dans l’immobilier patrimonial est bien plus complexe qu’il n’y paraît. Pour profiter au maximum de votre idée, nous vous accompagnons tout au long du processus, du choix du bien à la signature chez le notaire, en passant par l’obtention de votre financement.

Contexte du marché immobilier

60 à 70% des Français sont propriétaires d’un bien immobilier. Cette classe d’actifs tient donc une place importante dans une allocation patrimoniale.

La résidence principale occupe le premier plan, devant les résidences secondaires et l’investissement locatif. Nous attirons votre attention sur cet engouement propre à notre pays : il y a du très bon comme du très mauvais, avec beaucoup de nuances intermédiaires.

Profitons en d’emblée pour tordre le cou à une légende : non, on ne compense pas une mensualité de prêt avec un loyer. Ou alors on oublie des paramètres : charges inhérentes au local, impôts fonciers, impôt sur le revenu, prélèvements sociaux.

Focus sur la fiscalité des revenus

Immobilier patrimonial

Depuis 2018, le revenu foncier est devenu le seul à être assujetti aux prélèvements sociaux et au barème de l’impôt sur le revenu. Pour peu que vous soyez travailleur frontalier cotisant à l’URSSAF, vous êtes également redevable de cotisations sur votre résultat foncier.

Le recours à un dispositif fiscal quelconque ne doit pas occulter la fiscalité spécifique à laquelle sont soumis les revenus fonciers.

Pour bien investir dans l’immobilier patrimonial, vous pouvez activer principalement 5 leviers fiscaux que vous pouvez actionner (bien évidemment à déterminer selon votre situation patrimoniale et vos objectifs) :

  • Pinel
  • Monuments historiques / Malraux
  • Déficit foncier
  • Loueur en meublé non professionnel (LMNP) ou professionnel (LMP)
  • Nue-propriété

Bien investir dans l’immobilier patrimonial

Avant de se lancer dans l’acquisition d’un bien immobilier sur plusieurs années, il vous faut absolument considérer votre opération dans sa globalité.

Les questions à se poser, par exemple :

  1. D’ordre civil. Détention seul, avec mon conjoint/partenaire/concubin, via une société civile ou commerciale, avec des associés proches ou inconnus ?
  2. D’ordre économique. Enveloppe budgétaire possible ? Emplacement du bien, perspectives d’évolution du bien et de sa zone sur les prochaines années ?
  3. D’ordre fiscal en dernier lieu. Les impacts fiscaux favorables sont une conséquence des points précédents, et non l’inverse.

Bien investir dans l’immobilier patrimonial est bien plus complexe qu’il n’y paraît. Pour profiter au maximum de votre idée, nous vous accompagnons tout au long du processus, du choix du bien à la signature chez le notaire, en passant par l’obtention de votre financement.

Où que vous soyez dans votre acquisition, il est temps d’en parler, et le plus en amont sera le mieux.

Pour vous accompagner, nous nous sommes entourés des meilleurs acteurs de la place. D’une part les distributeurs d’immobilier physique, d’autre part les sociétés de gestion de pierre-papier.

Chaque intervenant répond à un cahier des charges précis lors de la sélection des biens que nous vous proposons. Le choix est aussi rigoureux sur le programme que sur les acteurs qui le portent.

La sélection du programme

Les lots sélectionnés pour répondre à votre exigence de bien investir dans l’immobilier patrimonial le sont après une fine analyse locale du programme :

  • Emplacement
  • Prix
  • Surface
  • Rentabilité
  • Marché des transactions et de la location

Implantés auprès des réseaux bancaires sur tout le territoire, nos partenaires recueillent également leur analyse sur la solidité financière de l’opération.

Pour vous éviter toute déconvenue, les lots qui vous sont proposés sur plan ont déjà un permis de construire déposé et purgé de tout recours.

Le choix des intervenants

Lorsque le contenu du programme correspond aux attentes, nos partenaires analysent les intervenants. Ils ne retiennent alors que :

  • Les grands promoteurs nationaux (Bouygues, Vinci, Eiffage, etc.)
  • Les promoteurs régionaux solides
  • Les acteurs majeurs de la gestion locative (Nexity, Foncia, etc.)
  • Les gestionnaires de résidence service d’envergure (Néméa, Studéa, etc.)